Quelle est la politique des stages ?

Ce sont les étudiant·e·s qui trouvent leur lieu de stage en concertation avec leur tuteur·rice. Toutefois, pour les aider dans leur recherche, tous disposent de plusieurs outils : des “annuaires” internes constitués à partir de lieux de stage d’ancien·es étudiant·es, des annuaires professionnels et le site Facebook des ancien·nes étudiant·e·s qui regroupent 1 000 personnes. Par ailleurs, la responsable des stages en journalisme diffuse auprès des étudiant·e·s toutes les offres de stages qui lui sont adressée par les médias.

 

On distingue quatre types de stage :

  • les stages obligatoires intégrés dans la maquette et aboutissant à la réalisation d’un rapport de stage en première année, d’un rapport de stage et d’une soutenance en seconde année. Il est d’une durée de 4 semaines en première année (obligatoirement en presse locale) et de 8 semaines en seconde année dans un média en lien avec la spécialisation de l’étudiant·e (presse, web, télévision ou radio),
  • le stage conseillée (de 15 jours maximum). Il permet  de découvrir  un secteur qui  intéresse l’étudiant·e et  peut permettre une prise  de contact avec une rédaction en vue de collaborations ultérieures,
  • le  stage  probatoire  consiste à suivre une période de formation avant le stage rémunéré d’été. Le stage probatoire est exigé par certaines entreprises en vue du stage rémunéré d’été et s’apparente à une période de formation et d’essai,
  • le stage de remplacement d’été en presse quotidienne régionale rémunéré à hauteur d’environ 1 200 euros bruts. Il s’inscrit dans le cadre d’un accord entre les éditeurs de presse locale et les formations en journalisme reconnues.

 

Tous les stages s’effectuent en dehors des périodes de cours et donnent lieu à la signature d’une convention. Les lieux de stage doivent compter au moins 3 salarié·e·s afin de permettre un accompagnement du ou de la stagiaire dans l’acquisition de nouvelles compétences.